Quand le temps ne croit pas à grand chose
Et que l’obscurité s’engouffre partout
Quand la lune est mordante
Et les arbres des badines d’osier
Quand le voyage est une déchirure
Et les cartes indéchiffrables
Quand triste est la voix
Qu’exhale ton soupir
Alors
La nuit souveraine s’élance
Pour nous bercer..
Approche
J’ai quelque chose à te dire
Quelque chose qui prend forme..
Quelque chose qui au couchant
Déborde…
Des paupières et des nuages
