Philippe Lecocq – SONNET POUR MA MUSICIENNE

Quand de tes yeux fermés, mes douces lèvres approchent
Et qu’à tes jolis seins, mes tendres mains s’accrochent,
Quand nos corps enlacés, assoiffés de bonheur,
Entament un concerto en si bémol majeur,

Nos esprits enfiévrés et nos sens embrasés,
Nos bras entrelacés et nos jambes emmêlées,
Se touchent et se caressent sur le large sofa
Dont les ressorts vibrants donnent parfois le « LA ».

Comme un lent adagio, notre désir arrive,
Laissant surgir une tonalité plaintive.
Le tempo s’accélère, la symphonie éclate,

Tonnant de tous ses cuivres et de tous ses tambours,
Annonçant le plaisir accompagné d’amour,
De fureurs et d’envies, de passion écarlate.

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