Une eurythmie si bien gérée
Le temps se dit être le maître
Or un vent différent souffle ici
Dans mon corps mon esprit
Alors je lance mon cerf-volant
Jaillissant de mon cœur pur
Il monte il monte ce messager
Défiant les crises de la nature
Défiant les frontières tracées
Selon un dit des sadhus d’Inde
Beau dans l’âme gouroufiée
Nous réunis sous le toit éthéré
Au matin du bien-être divin
Là où l’orgueil est pris d’assaut
Déchu par la bonté fraternisante
Celle-là même connue de Dieu
En posant les pieds sous l’orbe
Elle transcende l’infini causal
Face au surnaturel subsistant
Un vide entre la terre et le ciel
Ou que deux mers se croisent
Divinement papables Seigneur
Platonisant le réveil du bonheur
Les murs de discorde sont reniés
Au-dedans du corps ou au-dehors
Quand la dualité effleure l’unité
L’amour idyllique tsunamise l’ego
Pour un monde qui est ma famille
Quêtant l’humanité en équilibre
Je bâtis mon agenda cosmopolite
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