
Le carnaval tambourine
la foule piétine tape
déplie des cris
bouge se touche
mange se mélange
jambes noires, mollets de cuir
mascarade et musique
l’ivresse tresse les rires
au coin de la nuit
un cœur se tait
entre le roux et le jeu
la main lâchée
poursuit le vide écarlate