Lente agonie d’un hiver
douloureux,
Je choisis mon chant de sirènes océan,
Douce mélopée d’un romantisme
aux jours heureux,
Le vent frappe aux carreaux,
Il souffle un air mélodieux
Et raconte des histoires
De méduses dansant dans l’eau.
J’entends au loin les trompettes de Jéricho
La cheminée crépite d’un feu agonisant,
L’enfant rebelle ne pleure jamais longtemps.
L’espoir arrive sur les portes d’un nouveau printemps,
Car très bientôt
Refleuriront les coquelicots.
Et je danse..
