Je n’ai que mes mains et mes mots,
enfin ouverts à l’infini.
Le ciel,
la mer
le chemin.
Je n’ai que faire d’autres jeux.
Ici,
il n’est de place que pour le vrai,
le beau,
le doux
l’envie.
À n’en garder que le silence s’il me fallait les refermer.
Tout au sommet de la falaise,
on voit au loin,
on voit très bien.
Juste l’envie d’aller plus près.
Où est la raison d’une vie.
Je ne suis que de l’amour.
