Un jour tu sais, je partirai au gré du vent
Je volerai au-dessus des nuages
Je parcourrai les mers et les océans
Comme l’hirondelle du printemps qui annonce un beau présage.
Je partirai sans aucune autre souffrance,
Que celle sans aucun doute de t’avoir trop aimé.
Seras-tu triste de ma très longue absence ?
Je deviendrai celle dont tu pourras encore rêver.
Je ne reviendrai peut-être jamais plus
Je resterai dans ma triste solitude
Je visiterai tous les pays inconnus
Et n’oublierai jamais l’odeur de ton parfum ni celle de tes effluves.
