

Vous avez besoin de rire et vous êtes en mesure de rire de tout, n’hésitez pas, ce roman est pour vous.
J’ai rencontré un auteur absolument, réellement, vraiment, entièrement, littéralement…
Donc pour vous parler de ce livre, je voulais choisir les bons mots, j’avais choisi dans un premier temps, dérision, mais la définition est inexacte par rapport à l’usage (moquerie dédaigneuse, raillerie, mépris..), et non, l’auteur, ici, n’utilise pas la dérision.
Ensuite, l’humour noir, c’est une manière de présenter le monde avec cruauté, amertume, justesse tout en étant « pince-sans-rire ».
« Pince-sans-rire » est une expression qui a trouvé son origine au milieu du XVIIe siècle, à travers un jeu de société, ancêtre du jeu de la Barbichette : un maître du jeu devait pincer les joues d’un joueur avec les mains maculées de poudre noire, et dès qu’un membre de l’assemblée rigolait, il devait prendre la place et se faire pincer les joues à son tour.
Bref, on s’amusait comme on pouvait à l’époque, il n’empêche que grâce à ça, nous avons gagné une expression.
Le pince-sans-rire manie très bien l’ironie, et ici dans son roman, « L’ordinateur du paradis » Benoît Duteurtre manie très bien l’ironie, et moi, j’adore l’ironie.
Une question existentielle que nous transmettons de génération en génération, c’est « Qu’y-a-t-il après la mort ? »
Notre protagoniste nous raconte et c’est décapant, inattendu et finalement tellement, irrévocablement, infiniment,
Non sérieux, j’ai pas les mots, lisez-le !!!