La lumière du soleil
Veille sur ta nouvelle route
Il fût un temps
Du sommet du Mont Blanc
Lui, m’épate
Ô! son regard éblouissant
Sa tendresse en douceur
caresse les couloirs
de mes labyrinthes
anéanties à l’oubli
Alourdit sentiment et touchant
d’un rêve mourant entre les marches
du temps truand
l’espoir perd ses fleurs d’orangers
sur ma poitrine ravagé par l’orage
de l’imprévisible bannissement
de l’instant
Avec des larmes de sang coulissant
d’un cœur à terre gisant
j »entend en émotions,
essoufflée
la cloche d ‘une âme effondrée
partant tristement
sur les ailes du vent
Truqué sentiment
d’un amour volé
S’écroule
devant la porte du néant .
