Chez les oiseaux,
il n’y a naturellement
pas de sans abri…
Bref, l’Homme
là-dessus
bien en retard,
a encore de quoi
réfléchir,
sur cette question, précisément,
un long chemin
à s’inventer,
à trouver solution
à ses incongruités…
à ses intolérances
et à l’exclusion
sans pardon
de son semblable,
par simple
et sans appel
esprit épris de mépris,
d’aveugles laxismes,
d’ignobles absences
de décision ,
de nette insuffisance
en la matière…
Les politiques s’autorisent des priorités
à mille lieues
des urgentes nécessités.
