La nature s’alanguit et se meurt
Tout doucement, sans faire de bruit,
Les feuilles tombent à contre-coeur
De leurs arbres déjà bien dégarnis.
Et je marche heureuse et fière,
De contempler ce paysage magnifique,
Que la nature est belle offerte à mes chimères,
De mes pensées rebelles et aveux oniriques.
Chemin de soleil ou de lune et surtout de confidence,
Je ne me lasserai jamais de toi,
Je n’ai pas souvenance ,
Un jour d’avoir oublié de penser à toi.
