
Il est communément admis que les français, dans leur ensemble, ne connaissent pas leur Histoire.
A l’opposé, quelques érudits sont capables d’écrire un livre de 700 pages sur le remplacement des pavés dans l’artère principale d’une cité au Moyen-Age.
Entre les deux, des gens comme moi…qui ont gardé quelques souvenirs de leur scolarité. Ces images qui sont restées en nous, comme des flashs d’intensités inégales, forment un chapelet incomplet de connaissances qui peuvent donner l’impression que nous maîtrisons notre Histoire…

Les hommes préhistoriques se couvraient de peaux de bêtes, mais eux n’avaient pas vraiment le choix pour se vêtir, ce qui ne les empêchait pas de s’enrhumer et de contracter une toux caverneuse.
Il chassait pour se nourrir, tuant quelquefois des bisons qui, à l’époque, n’étaient pas encore très futés.
Comment auraient-ils pu imaginer que nous trouverions notre nourriture en grands magasins, eux que ne connaissaient que les mammouths !
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Nos ancêtres, les Gaulois, n’éprouvaient qu’une seule crainte : que le ciel leur tombe sur la tête.
Deux mille ans plus tard, on doit bien reconnaitre que le ciel n’a jamais fait le moindre mal aux hommes, mais on ne peut pas être aussi affirmatif quant à la réciproque.
Auraient-ils pu comprendre, ces vaillants gaulois, qu’e notre ‘une de nos grandes peurs s’appellerait SIDA, nous contraignant à maintes précautions, alors qu’eux, sans restriction, pouvaient consommer de la Gauloise sans filtre.
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En occupant la Gaule, les Romains nous ont fait partager leur civilisation. Ils ont construit des aqueducs pour transporter l’eau du départ jusqu’aux thermes.
Ils ont érigé des arcs de triomphe, s’acharnant à passer en dessous alors qu’il y avait largement la place de passer sur les côtés.
Les jeux du cirque passionnent les foules, quand le spectacle est bon on bourre l’arène.
Leurs notables circulant à cheval, ils ont tracé des routes pour accueillir tous ces galops romains.
A la fin de l’Empire romain, la Gaules fut envahie par les Huns et les autres.