Sylvie Brunel, docteure en géographie à la crinière de feu, ex-épouse du ministre bismuthiste Éric Besson spécialisé dans les quotas de reconduite à la frontière, invitée récurrente de « 28 minutes samedi » sur ARTE, a une analyse très personnelle de la situation actuelle en Ukraine. Selon elle, le recul des troupes russes serait une stratégie de la part du Kremlin. Ah bon ?
Dimanche 15 octobre : grande marche révolutionnaire à l’initiative de Mélenchon. Ne voulant pas être en reste, sœur du Cœur de Marine va-elle organiser un pèlerinage à Montretout, chez le vieux fondateur, pour célébrer le cinquantenaire de sa congrégation ?
La terrible question que se pose la planète : Poutine va-t-il détrôner Hiroshima ? Aurons-nous assez chaud cet hiver ? Le Père est-il toujours aux cieux ? NON, vous n’y êtes pas du tout. C’est : Mbappé va-t-il rester au Qatar Saint-Germain jusqu’à la fin de la saison ou sera-t-il transféré lors du mercato de janvier ? Question subsidiaire : sera-t-il mieux rémunéré s’il s’en va ? Chez les cheikhs, il palpe seulement 90, 91 millions d’euros par an : son salaire passera-t-il à 90, 92 millions ? Avouez que le suspense devient insoutenable !
Un petit espoir concernant la Coupe du Monde : dans « Les Dossiers du Canard », est évoquée l’éventualité d’une tempête de sable. En fait, pas très envisageable en cette saison mais pas impossible non plus. Même les éléments seraient donc tentés par le boycott ?
J’ai regardé sur ARTE « Soleil vert » (de Richard Fleischer) que j’avais déjà vu en 1973, lors de sa sortie. Comme pour « 1984 », il n’y a qu’une petite erreur de date, l’histoire étant censée se dérouler en 2022. Dans la réalité, ce sera pour un peu plus tard.
En quelques mots, si vous n’avez pas vu le film, l’homme a épuisé toutes les ressources de la planète pour nourrir sa population qui doit se contenter de « soleil vert » (je n’en dis pas plus, je ne voudrais pas déflorer tout le sujet), il y a quelques très rares nantis (et pas qu’un peu nantis ; eux n’en sont pas réduits à bouffer du soleil vert !), la très grande majorité des humains étant SDF. Et, dans les immeubles, les femmes sont désignées comme « mobilier » ( qu’en dit PPDA ? Que les armoires, au moins, ne portent jamais plainte ?).
-PPDA, justement. Je viens de lire « Impunité », l’ouvrage d’Hélène Devynck, qui fut, entre 1991 et 1993, la collaboratrice du présentateur star, violée par lui, à l’instar de nombreuses autres femmes.
Toutes n’ont pas parlé. Pas encore. Et certaines ne le feront sans doute jamais. La honte, la difficulté à être crue. Car les femmes violées sont-elles vraiment des victimes ? Il suffit, pour le savoir, de lire les commentaires sur le site du « Monde » suite à une tribune des plaignantes. En voici un, pas piqué des hannetons, cité par l’auteure : «Intéressant, cette femme qui vient pour un entretien professionnel et qui commet une fellation, à peine dix minutes après la première rencontre ! Il suffit donc de demander et elle s’exécute ? Dans quel but ? Obtenir un avantage professionnel ? Se flatter d’une relation valorisante avec une personnalité ? Il semble qu’à l’époque, ça lui convenait (…). Il faut reconnaître que changer de statut pour tenter d’endosser celui de victime est quand même plus valorisant. » Autrement dit, toutes des salopes qui ont profité de la faiblesse du bonhomme !
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