Marie-Cécile Bacquaert – le pianiste

J’en ai rêvé la nuit, il a un talent inouï
Il suffit de regarder ses mains de poète,
Je l’écoutais les yeux écarquillés,
C’était mon ami, c’était un maître.
Les noires et les blanches,
les croches et les doubles croches
n’avaient plus de secret pour lui
Ses doigts pianotaient sur le clavier.
La mélodie était romantique,
elle me faisait rêver,
La ballade était poétique,
c’était la ballade pour Adeline qu’il jouait.
Lorsqu’il interprétait lettre pour Élise.
Lorsqu’il jouait les nocturnes de chopin
C’étaient des moments divin.
Il avait tellement de talent,
que j’ancrais en moi
la magie de ces doux moments.
Il me suffisait de fermer les yeux.
Lorsque je partais pour le royaume des rêves.
Je l’entendais jouer pour moi,
J’en avais le coeur heureux…
À L’ENCRE DE MA PLUME

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