Coule les heures sur les rives du passé
Vole la feuille qui farandole et tombera lassée
Octobre se meurt dans les méandres des regrets
Quand sombre mon coeur dans l’onde des secrets.
Octobre ranime les feux dans les cheminées
Mais éteint la flamme des coeurs amourachés
Finissent les beaux jours , ensoleillés de l’été
La brume ,le brouillard , le froid les ont remplacés
