Prenons bas aux pâquerettes
Jamais plus les yeux de guerres
Qui nous les carnes rouspètent
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Nappons de paresses notre Terre
Hors les os et les a-bouts de sangs
Coulant frégates et Quartier maîtres
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Buvons de ces folles casse-pattes
Pour fêter et danser la trappe du tertre
Y Enterrer les souks de nos démences
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Fourrageons dans les forêts décapitées
Tout doit repousser des poudres-violences
Et ce petit être en ventre La vie son âtre…