à Wakeu Fogaing
Le poète a brisé sa lyre
Et de ses sublimes délires
N’enflammera plus nos désirs !
« Monsieur n’importe qui »
A brisé cette porte, qui
S’ouvre et tous, nous englouti…
Wakeu Fogaing, mon ami
Est parti en catimini
À l’aube de cette triste nuit !!!
Quelle grosse honte pour moi,
Il laisse mon cœur tout en émoi…
Envahi par le désarroi !!!
Il a rejoint le Panthéon,
La patrie des hommes bons
Qui ne vivent jamais pour eux-mêmes
Mais qui pour les autres se démènent !!!
Va, va, va, sublime poète !
Va avec les anges faire la fête…
Va conquérir ce paradis
Réservé aux tous « petits »,
Qui font leur véritable grandeur
En donnant aux autres du bonheur !!!
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