
Sur les rondelles
Seuls les écrous devissent
Ça me taraude
Allumer ton corps
Et te voir flamboyante
D’un baiser brasier

L’ombre avance
Caché derrière mon dos
Il me dépasse
Cacher sous mes pieds
La corne d’abondance
Protège mes pas
Je garde les pieds
Au plus prêt de la terre
Comme un pousse pied

J’aime les soucis
Ces fleurs que l’on respire
Qui ne sentent rien
La bouche ouverte
Vent du cul dans la plaine
La pince à linge
Courir si vite
Autour d’un tronc d’arbre
Et se rattraper
