Le monde s’ouvre comme une mangue
En quartiers hérissés
La peau retournée
Le flan à l’ère reptilienne
Il pourrait se débattre dans nos gueules venimeuses
Et piquer, dans nos palais, quelques gouttes sang gore
A quoi bon
Autant mourir noyé de nous
Et finir digéré subtilement dans nos sucs panthéoniques
Nous livrerons nos pensées
A la béance des vaines
Repus du monde
